avec vous on pouras aide ces enfants
Nous sommes une Organisation Non Gouvernementale impliquée depuis deux(4) ans dans la lutte pour la protection des enfants orphelins, déscolarisés, démunies et de la rue suites à la crise sociopolitique de la Côte d'Ivoire.
Les enfants représentent une population fragile, beaucoup se sont retrouvés seuls après les affrontements qui ont lieu dans la zone nord et particulièrement ouest de la Côte d'Ivoire. C'est alors à eux-mêmes qu'incombe la responsabilité de se nourrir et de se prendre en charge. Des enquêtes menées par notre ONG et différentes ONG nous ont montré que, dans les camps de réfugiés, les femmes et les enfants seuls sont souvent victimes de discriminations notamment lors des distributions de denrées et de fournitures, et sont très exposées aux violences sexuelles. Les enfants sont d'autant plus vulnérables qu'ils hésitent souvent à se confier aux représentants des organismes humanitaires en charge, aux ONG et préfèrent souvent rester dans les rues, et deviennent ainsi exposés à tous les dangers que cela supposent.
Depuis quelques années les enfants sont au cœur des préoccupations des Nations Unies. En 1990 est élaborée la Convention des Nations Unies relative aux droits de l'enfant ; L'enfant est défini comme "une personne de moins de dix-huit ans" sauf si "il relève d'une législation accordant la majorité plus tôt".
Les enfants et les adolescents des zones de guerre et plus précisément de l'ouest, avec les accords de paix qui nous guident tout doucement sur la route de la paix, ont des besoins spécifiques notamment en matière d'éducation et de formation professionnelle, d'hygiène et de santé. La satisfaction, ou non, de ces besoins conditionne leur vie adulte. L'éducation et l'alimentation en particulier est fondamentale parce qu'elle participe à leur bien-être.
Mais l'aide internationale n'est pas suffisante, Ainsi, pour des raisons strictement budgétaires, nous ne sommes pas en mesure de soutenir l'instruction au-delà du primaire et suffisamment assurer leurs alimentation comme il le faut et comme il se doit.
Il faut noter qu'une trentaine d'enfants à notre disposition sont totalement séparés de leur famille, soit par la disparition de celle-ci dans les affrontements, soit parce que leurs parents ont choisi de les mettre à l'abri, loin de la zone des combats, dans une autre région voire même dans un autre pays. Une de nos préoccupations actuelles à l'égard de nos enfants concerne le sort des enfants victimes du recrutement militaire forcé. Nous en avons cinq(5) à notre disposition. Ces enfants ont été séparés de leur=3 D2 0famille pour être transportés en Côte d'Ivoire, un pays qui n'est pas le leur, séparés de leur famille. En attendant, nous assurons le minimum pour les enfants avec nos propres ressources.
Notre espoir réside dans l'application des accords de Ouagadougou.
En attendant, les organisations non gouvernementales telles que la nôtre sommes souvent le seul recours pour nos populations qui payent jusqu'à maintenant la lourde tribu de la guerre.
Mais nous pensons réussir à faire ne serait-ce que le minimum grâce à votre bonne fois et à vos contributions respectives.
Sans soutien matériel et financier, les populations de la région ouest de la Côte d'Ivoire tomberont dans le gouffre total. Car il faut noter que c'est sur cette partie de la Côte d'Ivoire que la guerre à le plus pesé.
Nous pensons que grâce à votre compréhension, votre solidarité vis-à-vis du prochain dans la difficulté, grâce au bon cœur et à la compassion que vous porterez face à un enfant tel que ceux que nous avons et en dépit des difficultés que nous rencontrons, vous nous aideriez à aider. Car nous sommes plus que convaincu que vous feriez le « geste qui sauve
Les enfants représentent une population fragile, beaucoup se sont retrouvés seuls après les affrontements qui ont lieu dans la zone nord et particulièrement ouest de la Côte d'Ivoire. C'est alors à eux-mêmes qu'incombe la responsabilité de se nourrir et de se prendre en charge. Des enquêtes menées par notre ONG et différentes ONG nous ont montré que, dans les camps de réfugiés, les femmes et les enfants seuls sont souvent victimes de discriminations notamment lors des distributions de denrées et de fournitures, et sont très exposées aux violences sexuelles. Les enfants sont d'autant plus vulnérables qu'ils hésitent souvent à se confier aux représentants des organismes humanitaires en charge, aux ONG et préfèrent souvent rester dans les rues, et deviennent ainsi exposés à tous les dangers que cela supposent.
Depuis quelques années les enfants sont au cœur des préoccupations des Nations Unies. En 1990 est élaborée la Convention des Nations Unies relative aux droits de l'enfant ; L'enfant est défini comme "une personne de moins de dix-huit ans" sauf si "il relève d'une législation accordant la majorité plus tôt".
Les enfants et les adolescents des zones de guerre et plus précisément de l'ouest, avec les accords de paix qui nous guident tout doucement sur la route de la paix, ont des besoins spécifiques notamment en matière d'éducation et de formation professionnelle, d'hygiène et de santé. La satisfaction, ou non, de ces besoins conditionne leur vie adulte. L'éducation et l'alimentation en particulier est fondamentale parce qu'elle participe à leur bien-être.
Mais l'aide internationale n'est pas suffisante, Ainsi, pour des raisons strictement budgétaires, nous ne sommes pas en mesure de soutenir l'instruction au-delà du primaire et suffisamment assurer leurs alimentation comme il le faut et comme il se doit.
Il faut noter qu'une trentaine d'enfants à notre disposition sont totalement séparés de leur famille, soit par la disparition de celle-ci dans les affrontements, soit parce que leurs parents ont choisi de les mettre à l'abri, loin de la zone des combats, dans une autre région voire même dans un autre pays. Une de nos préoccupations actuelles à l'égard de nos enfants concerne le sort des enfants victimes du recrutement militaire forcé. Nous en avons cinq(5) à notre disposition. Ces enfants ont été séparés de leur=3 D2 0famille pour être transportés en Côte d'Ivoire, un pays qui n'est pas le leur, séparés de leur famille. En attendant, nous assurons le minimum pour les enfants avec nos propres ressources.
Notre espoir réside dans l'application des accords de Ouagadougou.
En attendant, les organisations non gouvernementales telles que la nôtre sommes souvent le seul recours pour nos populations qui payent jusqu'à maintenant la lourde tribu de la guerre.
Mais nous pensons réussir à faire ne serait-ce que le minimum grâce à votre bonne fois et à vos contributions respectives.
Sans soutien matériel et financier, les populations de la région ouest de la Côte d'Ivoire tomberont dans le gouffre total. Car il faut noter que c'est sur cette partie de la Côte d'Ivoire que la guerre à le plus pesé.
Nous pensons que grâce à votre compréhension, votre solidarité vis-à-vis du prochain dans la difficulté, grâce au bon cœur et à la compassion que vous porterez face à un enfant tel que ceux que nous avons et en dépit des difficultés que nous rencontrons, vous nous aideriez à aider. Car nous sommes plus que convaincu que vous feriez le « geste qui sauve
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